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Choeur du patriarcat russe de Moscou

Chants orthodoxes et populaires russes

Chants orthodoxes de Rachmaninov, Bortinansky, Gretchaninov…

Reconnu comme seul représentant de l’Eglise Orthodoxe Russe, le Choeur du Patriarcat de Moscou allie les recherches musicologiques les plus rigoureuses à une pratique vivante de la liturgie orthodoxe de l’ancienne Russie. Les voix chaudes et profondes des douze chanteurs sont placées sous la direction de Anatoly Grindenko. Virtuose renommé de la contrebasse, il fait partie des pionniers de l’interprétation sur instruments d’époque en Russie.

Avec son choeur, il mène des tournées triomphales  à travers toute la Russie mais aussi en Italie, Autriche, Allemagne, France, Suisse, Pays Bas, Grande Bretagne, Espagne, Israël, Finlande…

                                                         Anatoly Gridenko, direction.

Historique :

CHOEUR DU PATRIARCAT RUSSE DE MOSCOU
Anatoly Grindenko, direction

C’est en 1980 qu’Anatoly Grindenko fonde le choeur des étudiants du Séminaire et de l’Académie théologique à Troitse-Sergieva Lavra afin de rétablir la tradition du vieux chant choral russe ainsi que son retour à l’office. Quelques années plus tard, il s’arrange pour que le choeur chante lors du concert d’ouverture du monastère de Danilovsky à Moscou et depuis ce temps Anatoly Grindenko contribue au développement de cette formation attaché au Patriarcat de Moscou, avec la bénédiction du Patriarche de Russie. C’est ce même choeur qui accompagne régulièrement tous les offices orthodoxes en chantant les motets de l’ancienne Russie. Le choeur du Patriarcat est avant tout un laboratoire de recherches et de créations parce qu’il s’efforce non seulement de mettre en lumière les musiques des vieilles partitions retrouvées mais encore de rassembler un alphabet pouvant aider à la lecture des antiques manuscrits.
L’âme du chant russe va  résonner sous les voûtes  de l’Eglise de Macheville.

Actualités Le commentaire du  Figaro:

Réchauffement accéléré entre Rome et MoscouPar Jean-Marie Guénois le 21 mai 2010 19h09 reuters hilarion.jpgLa meilleure diplomatie emprunte souvent les canaux les plus imprévus. Ainsi, jeudi soir à Rome, c’est la musique qui a servi de langage entre l’Eglise orthodoxe russe et l’Eglise catholique. Derrière l’apparence mondaine du rendez-vous, un nouveau pas considérable a été franchi.

Un concert « en l’honneur de Benoît XVI » a été donné au Vatican à l’occasion des « journées de culture et de spiritualité russe » promue par le Patriarche russe Cyrille 1er. L’Orchestre national russe, le chœur synodal de Moscou et la Chapelle des cors de Russie de Saint Petersbourg – ce n’est pas rien – avaient fait le déplacement pour interpréter diverses œuvres profanes et sacrées des plus grands compositeurs russes.

Derrière les discours d’usage, du Pape et du Patriarche représenté par le métropolite Hilarion Alfeyev, Président du département des relations extérieures du Patriarcat de Moscou qui a porté cette initiative – et devant les représentants du gouvernement russe – un ton nouveau, très conciliant a accompagné les notes musicales, et marqué une étape symbolique dans les relations.

D’ailleurs, depuis moins d’un an, l’évêque Hilarion, évoque partout où il parle – et de plus en plus précisément – la perspective de la rencontre entre Benoît XVI et Cyrille 1er. Il a même affirmé, mercredi, à Rome : « Je voudrais exprimer le souhait que l’on puisse parvenir à une rencontre non pas entre n’importe quel pape et n’importe quel patriarche de Moscou, mais entre Benoît XVI et Cyrille ». Les « temps ont changé » a-t-il ajouté reconnaissant qu’«en mentionnant ces deux personnes, j’ai presque posé une limite dans le calendrier ! ». Une remarque qui n’est pas improvisée dans la bouche de ce fin diplomate même s’il a reconnu qu’il faut encore beaucoup travailler.

 repris  sur : http://blog.lefigaro.fr/religioblog/2010/05/rechauffement-accelere-entre-r.html

Cette  programmation  à Lamastre est  inscrite dans  une  tournée  nationale du Choeur  Patriarcal ,  le Festival Vochora a  pu  obtenir cette  prestation  et la « délocalisation » à Lamastre est à mettre à l’actif de l’hyperactif chef  de  l’OMC  Lamastrois,  une  belle  affiche à  ne  pas manquer.

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