Le projet Noz’Ateliers qui est devenu un réalité continu d’avancer et se développe sur la zone artisanale de Nozières. Un des volets de son travail actuellement est orienté sur « la forêt » dans toutes ses
dimensions……
Une première réunion a eu lieu don voici le compte rendu
Et une nouvelle réunion se profile dont voici l’invitation qui nous a été transmise par Omar Tourougui et François Fayolle parties prenantes de l’association et de l’organisation de cette réflexion.
Le centre de vaccination anticovid de Lamastre ouvert depuis le 18 janvier fonctionne à la satisfaction générale ….. des personnes pouvant y accéder.
Comme partout en France, et dans le monde, le problème est celui de l’approvisionnement en doses par rapport à la demande.
Le centre lamastrois a actuellement une liste d’attente de 1100 personnes inscrites, au rythme de 5 vacations de demi journées à 50 doses incluant des rappels et des primo vaccinations le calcul est vite fait on a plus de 6 à 8 semaines d’avance, ou de retard selon son mode de pensée. Les rendez vous ne sont donc plus pris par la plateforme téléphonique, reste un numéro national et un site internet national dont on peut penser qu’il va servir à faire patienter les … patients.
Le fonctionnement s’appuie sur la mobilisation des personnels de santé impliqués, actifs et retraités, sur la base du volontariat qui ne faiblit pas; le soutien logistique de notre hôpital « local » qui joue pleinement son rôle de pole de proximité et l’appui de la mairie par la mise à disposition des locaux fonctionnels; tous ces éléments font que chacun apporte sa pierre à l’édifice. En aparté et en discutant pendant nos vacations nous avons appris qu’un maire d’une commune proche se positionnait dans la mouvance anti vax …
Quelques critiques fusent autour de l’intendance, nous les écoutons sans les entendre, nous sommes en bout de chaine mais surtout en première ligne.
Heureusement le vaccin Astra Zeneca arrive en cabinet, pour une autre tranche d’âge moins avancée et active, en vaccinant on immunise la population avec en ligne de mire l’immunité collective.
Donc vaccinez vous !!! dès que vous pouvez. Plus vite on cassera l’épidémie, plus vite on revivra normalement.
En 1841, un jeune pasteur genevois, François David Delétra, sillonne les contrées protestantes d’Ardèche et de Haute-Loire : il est chargé de donner des prédications de réveil. En même temps il doit combattre le « méthodisme ». Il écrit des lettres, des rapports et un journal, sans se cantonner au domaine religieux. Il décrit le pays et les mœurs de ses habitants. Il n’aime pas toujours ce qu’il voit, et il le dit crûment.
Mais il cherche toujours à comprendre et quand il admire il le dit aussi. Sous sa plume, nous voyons apparaître un pays et un protestantisme très différents de ceux que nous connaissons. Mais le passé éclaire le présent… Seuls quelques extraits du journal avaient jusqu’ici été publiés. Alain Arnoux a travaillé sur le manuscrit original et l’a transcrit dans son intégralité, ce qui permet de le mettre pour la première fois à la disposition des lecteurs, avec d’utiles annotations
et une petite note sur notre paisible La Mastre:
1841 c’était le temps du baston lamastrois, comme celui les hooligans britanniques, du West Side Story New Yorkais et malheureusement des bandes « de jeunes » des banlieues actuelles.
Autres temps, autres mœurs, mais donc pas vraiment, à noter que l’aubergiste Rouveirol a cédé la place à notre Pharmacie préférée
La campagne de vaccination anti COVID change de braquet avec l’arrivée du vaccin ASTRA ZENECA dans le cabinets médicaux par le circuit habituel des officines en pharmacie.
Ce vaccin de technique « traditionnelle » sans le fameux ARN messager qui a foutu le trouillomètre à zéro par confusion entre l’ARN et l’ADN de la part de certaines personnes, confusion qui a permis aux anti vax de toutes obédiences de se gaver. Cette technique traditionnelle appliquée au vaccin ASTRA évite l’écueil de la chaine de congélation.
Les vaccins arrivent le 24 en officines, les flacons sont de DIX doses et le médecin va devoir organiser des sessions de 10 patients.
La tranche d’age retenue pour l’éligibilité est celle des 50 64 ans avec une pathologie potentiellement délétère, mais qui n’est pas susceptible d’en déclarer une passé la cinquantaine ?
Ce vaccin donne un peu plus d’effets secondaires acceptables que les Moderna et Pfizer.
Mais qui n’a pas eu un enfant vacciné et grognon les jours suivant un vaccin, et rappelez vous « du bon vieux temps du service militaire » et du service national qui ne se remémore pas du « mal au cul » post injection , surtout TAB ? ?
La vaccination ou l’immunité acquise post infection seront les seuls moyens de reprendre un vie sociale pleine d’appétence, on va droit au passeport vaccinal ou sérologique.
Il faut contacter votre médecin pour vous inscrire.
Voici le texte officiel:
Vendredi 12 février dernier, un DGS urgent a décrit les conditions dans lesquelles les médecins de ville vont pouvoir vacciner leur patientèle de la tranche d’âge de 50 à 64 ans inclus atteinte de comorbidités[1] au moyen du vaccin COVID-19 Astra Zeneca suspension injectable®.
Le schéma de diffusion retenu s’appuie sur la mise à disposition initiale de chaque médecin volontaire d’un flacon de 10 doses de vaccin auprès d’une officine auprès de laquelle il se sera préalablement rattaché.
Pour que les flacons de vaccin puissent être mis à disposition des médecins au plus tard le 24 février par leur officine référente, il a été demandé que chaque médecin volontaire se soit rattaché à l’officine de son choix entre le lundi 15 février et le mercredi 17 soir .
alors vaccinez vous, et dans quelques temps embrassons nous.
Parfois, grâce à ma petite mémoire, je me revois en train de poser pour Henri Roche, peintre local dont une rue de Lamastre porte le nom. J’avais entre 6 et 8 ans et je me souviens bien de lui. Il habitait sur la route de Valence. Il montait à pied par le Chemin des Martyrs en direction de l’église de Macheville avec son chevalet, son tableau en toile, sa palette de gouaches, sa petite chaise pliable en tissu pour arriver jusqu’à chez moi, à 2,5 km environ.
C’était un grand homme habillé en velours vert à grosses côtes, des guêtres, un pantalon large juste au-dessus qu’il réglait grâce à des petites lanières. Il portait une casquette gavrocheinclinée. Il se démarquait d’entre nous, simples paysans.
J’habitais au Buisson d’Urbilhac, hameau où je suis né. Il venait m’y chercher pour me poster avec précision dans les escaliers en pierres. Je devais y rester une heure ou deux sans bouger, de façon à avoir mon portrait le plus naturel possible (avec les ombres) ! Pour moi c’était très difficile et languissant surtout avec les mouches qui me piquaient.
Ce coin pour lui était vraiment extraordinaire étant donné qu’il y avait une cour intérieure ceinturée par des portes voûtées de part et d’autre en très belles pierres. Dans cette enceinte logeaient des vaches, des chèvres et des poules. Pendant que je posais, des chiens venaient me lécher, les poules grattaient le sol en sautillant sur des petites brindilles de bois tombées des fagots que l’on donnait aux chèvres ! Et… je devais toujours rester immobile…
Je n’ai jamais vu ses tableaux finis, quel dommage ! Il me disait qu’il les exposait dans la région parisienne…
Gilbert MANEVAL
Il se pourrait que ce soit Gilbert sur ce tableau.
Là, pas de doute, ce n’est pas Gilbert.
Repiqué sur le site de l’UPV, avec la complicité de BM http://universitepopulaireduvivarais.org
Et, après la parpaillote lisant sa Bible, voici en bonus une belle voute