Sans tambour, ni trompette...
Les Délégués Départementaux de l’Éducation Nationale (DDEN) du secteur de Lamastre ont constaté avec satisfaction que leur demande formulée depuis plus de deux ans auprès du maire de la commune,- en ce qui concerne l’apposition de la devise de la République et le pavoisement des écoles publiques de Lamastre en application de la Loi du 8 juillet 2013,- était enfin concrétisée depuis le 6 mars dernier. Les DDEN ont adressé un courrier au maire pour le remercier de cette opération qui s’est néanmoins effectuée en toute discrétion…
Pour les DDEN le pavoisement des écoles publiques ne constitue pas une simple décoration. Il s’agit d’exposer ostensiblement les symboles républicains pour affirmer l’attachement de la Nation à son École, de cultiver l’adhésion citoyenne des élèves et de les sensibiliser, dès l’école maternelle, aux valeurs qui ont fondé notre république, indivisible, laïque, démocratique et sociale.
Alain Jammet
L’Université Populaire du Vivarais organise une conférence au Centre Multimédia de Lamastre:
Logement social, Cités ouvrières et…Utopies
Jeudi 14 mars 2019 à 16h00
animée par Marianne PILLOT, juriste et présidente de AMILOI qu’elle présente ainsi:
Pourquoi loger les classes populaires?
L’usine de la révolution industrielle a besoin de fixer une main d’oeuvre volatile, l’Etat d’empêcher les « classes laborieuses » d’être des « classes dangereuses« , le philanthrope de créer une « cité idéale ».
A la croisée du paternalisme, du mouvement hygiéniste et du socialisme, logement et travail sont fortement liés au XIXème siècle.
Marianne Pillot se propose de nous faire écouter ces « sublimes » ouvriers d’hier, encore maîtres de leur savoir-faire,- mais aussi des patrons visionnaires comme Jean-Baptiste Godin et son fameux
familistère de Guise,- pour comprendre la naissance des premières sociétés de secours mutuel et autres acquis sociaux, de nous faire visiter quelques foyers SONACOTRA du siècle dernier et de suivre
le camping-car du travailleur américain d’aujourd’hui, ce qui nous permettra d’échanger sur nos visions du travail et du logement.
Alain Jammet
ENSEMBLE et SOLIDAIRES unrpa Lamastre. Le concours de belote de notre association a réuni 13 équipes pour s’affronter au cours de 3 parties; les gagnants sont ceux qui ont 1 Monique Chastagnier et M. C laude Preti 2 Jeanine Rissoan et Nicole 3 Marinette Castex et Colette Therme. Un petit goûter a clos notre après midi.
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Mathieu Breysse à force de courage est arrivé au Cap Nord ! Latitude 71° 10′ 21 »
Après 4760 kms (en vélo) en 2 mois depuis PARIS .
Un grand exploit sportif, une magnifique aventure humaine.
Bravo Mathieu et Merci de nous avoir fait partager durant ce voyage vers le sommet de l’Europe, tes joies, tes photos, tes rencontres…mais aussi tes doutes lorsque le matos a lâché. Tu as surmonté tous les obstacles.
Seule petite déception: Mathieu roulait au profit de l’Association « A chacun son Everest » et l’objectif de 1500€ n’est pas encore atteint. Nul doute qu’après son arrivée cet objectif sera lui aussi atteint
Pour donner c’est ICI A Chacun son Everest Merci pour votre générosité.
Mathieu, Bon retour à Lamastre sur le 45e parallèle où le printemps s’annonce.
FC
La route fermée, rien ne l’arrête.
à suivre sur
https://www.facebook.com/152777795660438/photos/pcb.248232669448283/248232562781627/?type=3&theater
en partenariat avec les Toiles du Doc dans le cadre du Printemps du Documentaire Écran Village reçoit un réalisateur qui accompagne son film.
Cette année c’est ce mardi qui vient 5 mars avec la projection « Les jours maudits »..
LES JOURS MAUDITS
Synopsis
« 2014, en Ukraine. Au centre-ville de Kiev, dans l’espace clos d’un atelier de gravure, quelques élèves viennent consulter le Maître. Protégé du monde extérieur, Vladimir y prodigue l’enseignement de la précision du trait, entre deux tasses de café. Le temps y semble suspendu, alors que des bribes d’un présent animé y pénètrent : les sons et les images de la révolution qui gronde sur la place Maïdan arrivent jusque-là, contre la volonté de Vladimir, réticent à reconnaître l’influence de l’histoire de son pays sur sa vie comme sur son œuvre. Et pourtant, sous la finesse du trait de son crayon, c’est toute la violence du passé, de l’actualité et peut-être déjà d’une guerre future, qui explose. Artem Lurchenko a lui aussi étudié dans cet atelier comme élève de Vladimir. Y revenir avec sa caméra c’est pour lui créer une brèche, ouvrir la porte, amorcer un mouvement. Il circule entre l’intérieur et l’extérieur, du décor figé de l’atelier, hanté par les natures mortes, à la scène sans cesse reconstruite des barricades de la place, puis du départ de ses conscrits vers la Crimée. »