L’Université Populaire du Vivarais a organisé mercredi dernier une conférence sur l’homéopathie animée par le docteur Berenguer, médecin généraliste spécialisé en homéopathie. Après les allergies alimentaires en 2016, l’ostéopathie et la médecine manuelle en 2017, le stress, maladie ou maladresse en 2018, trois conférences qui eurent beaucoup de succès, ce fut au tour d’une présentation de l’homéopathie, de ses mythes et des réalités scientifiques qui y sont liées que le docteur Berenguer présenta à un public fort intéressé.

Tout d’abord par un rappel historique: l’homéopathie a vu le jour en 1796 grâce au médecin et botaniste Samuel Hahnemann en étudiant de près les effets de la quinine sur le paludisme qui peut déclencher des symptomes à forte dose mais peut soigner à faible dose. D’où le principe de la dilution infinitésimale (par exemple: 9 CH= 1 goutte dans 100 gouttes). Ensuite, c’est James Tyler Kent, médecin homéopathe américain décédé en 1916 qui a établi le « Répertoire de la matière médicale homéopathique » en consignant des dizaines de milliers de symptomes et en faisant correspondre à chacun des produits homéopathiques susceptibles de soigner les patients.

Le Docteur Berenguer, en tant que médecin homéopathe privilégie d’abord la relation duelle avec le patient pour connaître l’origine de ses troubles avant de prescrire un remède. Au cours de la conférence, il a aussi fait mention de Jacques Benveniste et de ses travaux en 1987 sur la « mémoire de l’eau » ainsi que ceux de Masaru Emoto qui cherchent à démontrer qu’avec une eau diluée on obtient des cristallisations différentes selon qu’elle est soumise à des sons, des mots, voire des pensées.

Des millions de personnes à travers le monde ont recours à l’homéopathie. En France, à l’heure actuelle, de nombreux scientifiques et des médecins remettent en cause les principes et l’efficacité de l’homéopathie, demandent même son déremboursement, ce qui n’empêchera pas les personnes convaincues de continuer à se soigner avec cette médecine dite « alternative ». 

Alain Jammet

L’Office Municipal de la Culture de Lamastre vous présente ses meilleurs vœux pour 2019 et vous invite à réserver la date du samedi 9 février pour la projection du film documentaire « Lucie, Après moi le déluge » en présence de la réalisatrice Sophie Loridon et en partenariat avec Ecran Village.

Jean Paul Vallon, Maire de Lamastre s’est entretenu le 5 janvier sur les ondes de RDB, conversation avec les journalistes de RDB et des habitants de Lamastre.

Il a développé des projets pour la cité et nous pouvons apprendre qu’une salle culturelle serait dans les tuyaux. Lamastre offre déjà un centre culturel centre ville, une salle multi média à  proximité de la Médiathèque, coté Désaignes on  profite d’un espace culturel et d’une salle privée à La Source. Ces 4 salles connaissent des fortunes d’occupations diverses fonctions des animations culturelles et associatives proposées . Les nombreux lieux de cultes jouent  pleinement  l’ouverture culturelle en accueillant des concerts de qualité, et  pour être exhaustif « La Chirouze » est à vendre. A-t-on  besoin d’un lieu supplémentaire ?, Le concept de « Lamastre en Scène » renaitrait-il coté majorité municipale? le débat est lancé.

Je ne peux bien sûr passer sous silence l’entame de l’interview par le journaliste de RDB qui demande à M JP Vallon la signification subliminale de ses Vœux 2019 sur internet ? sauf que le journaliste s’est un peu mélangé les pédales en confondant lamastre.net avec le site municipal de lamastre.fr, le journaliste avait été interpellé par la colorisation évocatrice de liberté du logo…

Vœux 2019

M Vallon a recadré de suite la trajectoire, ce qui  prouve au moins une chose, c’est qu’il a de bonnes lectures, je fais tous mes vœux de bonne continuation.

En aparté je préfèrerais une maison médicale, pour couler  une retraite peinard entre amis, à un n ième espace culturel.

Le projet des 3 ans à venir.

Bonnes Années quand même.

RB

Voyage : les vingt destinations de l’année 2019 pour « Le Monde »

Par Thomas Doustaly Le 22 janvier 2019

Le Nouveau-Brunswick et ses rivières sauvages, l’Ardèche et ses gorges secrètes, le Chili et le désert brûlant de l’Atacama… « Le Monde » a établi, avec un panel de professionnels, sa sélection de voyages de l’année.

et la surprise  , la bonne surprise c’est que Lamastre est cité(e) !!!!

10. L’Ardèche, France

France, Ardèche (07), Parc Naturel régional des Monts d’Ardèche, randonnée au départ de Vesseaux le long du Liopoux

Dans le parc naturel régional des monts d’Ardèche, le long du Liopoux.

Avec ses paysages austères d’une incroyable beauté, l’Ardèche verte – le nord du département, de Lamastre au parc naturel régional du Pilat – est encore un secret d’initiés. Il faut dire que le lac de Devesset, les Gorges de la Daronne à Colombier-le-Vieux ou les vestiges archéologiques d’Alba-la-Romaine n’ont rien de tape-à-l’œil. Sans plages de sable blanc ni monument iconique, l’Ardèche s’apprécie pour sa ruralité et sa gastronomie. Du vin biodynamique de la Ferme des 7 Lunes dans le hameau de Charbieux, non loin du Safari de Peaugres, aux châtaignes des Jardins du Fraysse qui donnent une crème de marrons unique, c’est sans doute ici que le cœur bio de la France bat le plus fort.

Quelques excellents hôtels 4 étoiles, beaucoup de chambres d’hôtes pleines de charme, comme La Chastanha à Saint-Symphorien-de-Mahun ou le Clos de Lapras à 3 km d’Annonay, des sentiers de rando ou de VTT jamais encombrés et des petites routes désertes en juillet, le tourisme ardéchois est aussi très tendance. Car voyager en France loin des foules n’a jamais été aussi désirable, à la fois pour mieux maîtriser son budget et limiter son empreinte carbone. Accessible en TGV depuis Valence ou Montélimar, l’Ardèche verte mérite largement qu’on s’y arrête.

RB grâce à l’article transmis par M C.

Avec une mention  bien sur l’empreinte carbone, qu’il  nous faut  toutefois préserver.

Le must  de l’Hiver: le Loto de l’Amicale Laïque

L’Amicale est  une vieille institution  lamastroise puisqu’elle  a  pris la suite du Sou des Écoles créé dans les années  1880/90 dans le sillage de  l’école  laïque gratuite et  obligatoire  voulue  par Jules Ferry.

Le Sou des écoles avait  pour vocation  d’aider les élèves dans le cheminement scolaire,  en  particulier par  la dotation en fourniture scolaire.

Un lamastrois, élevé « chez les curés »,  m’a donné un cahier d’écolier que son grand père imprimeur fabriquait au début du vingtième siècle.

une devise  propre à  l’esprit républicain

et des objectifs qui permettaient  l’ascenseur social, but de   l’instruction dont je ne peux que me féliciter.

R B, en remerciant Jacques Marie….