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Faut pas rêver : ce qui suit n’a guère de chances d’intéresser grand monde. En ce début de printemps où la nature s’éveille, voici un article totalement à contre-courant, un article de cossard.

D’abord il y a ceux que le sujet laisse indifférents et que ma plume (c’est une image) qu’elle soit mouligassse ou alerte, va laisser de marbre. Ceux-là se contenteront peut-être d’apprendre qu’à l’occasion de cette conférence organisée en partenariat avec la mutuelle EOVI le record d’assistance a été battu. Devant les soixante-deux présents, on a eu le bonheur d’entendre notre bon président balancer : « On a fait le plein et même le trop plein » (ça c’est beau, non ?). Entendre une phrase pareille méritait déjà le déplacement, à notre humble avis.

Il y a peu de chance que cet article passionne non plus ceux qui sont venus à la conférence et qui seront déçus de ne pas retrouver ici tout ce qu’il y a été dit. Résumer une heure et demie d’informations denses et savantes n’est pas à la portée du premier scribouillard venu. Surtout s’il est pris d’une certaine torpeur par ces premières chaleurs printanières.

On se contentera ici de rappeler que le conférencier s’appelait Bruno Claustrat, qu’il est chronobiologiste et fort sympathique (mais peut-être personne n’avait-il déjà oublié tout ça ?)

 

Le dernier groupe des lecteurs déçus est composé de celles et ceux qui auraient été passionnés par le sujet et qui, n’ayant pas pu venir, comptent sur le présent article pour assouvir leur appétit de tout savoir sur le sommeil. Aucune chance pour eux non plus de lire ici de quoi être satisfaits. On a cependant une très excellente nouvelle à donner à ces derniers : ils peuvent recevoir tous les documents ayant nourri la conférence et ainsi combler leur curiosité. Il leur suffit de se faire connaître à bernard.monteremal@wanadoo.fr et , un coup de clic plus tard voilà l’affaire dans leur sac. Malin, non ?

On va conclure, tranquillou, en citant une dernière phrase entendue et qui a bien flatté nos oreilles :

« Ce n’est pas parce que toutes nos conférences sont, à ce jour, bien réussies, qu’il faut qu’on s’endorme sur nos lauriers. »

Ah ! S’endormir sur nos lauriers, en pleine sieste, et rêver, à l’ombre, peinards…

BM

Repiqué sur le site de l’université populaire du vivarais.

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